Les Anglais cherchent un grand accord commercial avec les États-Unis ; dans cette logique nostalgique de l’impérialisme britannique, il vaut mieux un mauvais traité de libre-échange anglo-saxon qu’une appartenance en tant que membre influent au plus grand marché du monde : l’Union Européenne.
Copy and paste this URL into your WordPress site to embed
Copy and paste this code into your site to embed