VIVRE À SAINT MARTIN OU EN PAYS CYCLONIQUE
Dans les situations extrêmes, quand les vents soufflent à 300 kilomètres heure, quand des vagues de dix mètres frappent le rivage ou que des bombes tombent sur une ville pendant quelques minutes, quelques heures ou quelques jours, l’Etat, quel qu’il soit, est paralysé. La seule force qui puisse s’opposer à ces désastres est celle d’hommes et de femmes, d’individus solidaires et combatifs qui auront mis tout en œuvre pour survivre au cataclysme.
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