ARCHIVE April2019
Sarah Téibo, la jazziste londonienne philanthrope
Auteur : Pierre Scordia A une époque où l’Angleterre traverse une rude quête identitaire, où le pays est plus divisé que jamais, où la chute des investissements devient très inquiétante pour […]
Sarah Téibo, the London philanthropist jazz singer
Sarah Téibo writes songs that inspire and encourage people to keep pushing in spite of the hurdles of life, which inevitably keep coming.
Lucia’s Grace: an Italian film for Eco Warriors
Italian director Gianni Zanasi has combined the appearance of the Virgin Mary with a strong eco-warrior message in his delightful new film Lucia’s Grace, a kind of hymn to environmentalists everywhere.
Islamophobie & débat démocratique
L’affaire remonte un peu mais fait encore débat : la grande enseigne de magasin de sport Decathlon était prête à commercialiser des hijabs mais elle a finalement fait marche arrière sous la pression de certains médias et politiciens.
Don McCullin, témoin des horreurs de notre époque
On parcourt le monde et les années en arpentant les nombreuses salles de l’expo consacrée à Don McCullin, on survole en même temps notre vie à notre insu. On prend conscience que nous vivons dans un monde toujours cruel et absurde, livré au fanatisme, aux haines ethniques, aux rivalités politiques. On se demande si nous sommes condamnés à une répétition de l’Histoire.
Stories from The Front Line
Three films in the Human Rights Watch Film Festival 2019 particularly stand out: Facing the Dragon from Afghanistan, Saf from Turkey, and Everything Must Fall (South Africa). They illustrate the importance of recording stories of resistance in an era marked by the rise of authoritarian regimes.
Le destin de Niki Kosmaoğlu
Á de retour de Niki, Istanbul avait changé et sa population aussi. Son quartier de Cihangir n’était plus grec, la plupart de ses connaissances était partie. Le cordonnier, le boulanger, le boucher, les cousins, les voisins : il ne restait plus personne. Quelques musulmans du quartier étaient là et aussi quelques Arméniens et Levantins qu’elle connaissait avant son départ pour les États-Unis. C’était tout ce qu’il restait des gens du quartier. Les nouveaux habitants étaient venus des campagnes et avaient profité des spoliations et des ventes des immeubles grecs à bon marché.