L’histoire culinaire est le « parent pauvre » des études abordées outre-mer, par rapport aux questions liées à la traite, à l’esclavage et au métissage. Si l’histoire économique de la plantation sucrière et plus récemment du café ont suscité des travaux magistraux, la transformation et surtout les modes de dégustation des produits des Îles n’ont pas donné lieu aux mêmes recherches.
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