ARCHIVE October2015
FASHION: Find what makes you happy and do it well!
What is success? The answer is simple. Who knows? Find what makes you happy and do it well. You alone define what success is to you. So go ahead and live it!
BOULEVERSÉ ET BOULEVERSANT HAÏTI
Un séjour à Haïti ne laisse pas indemne. L’histoire de ce pays est traversée par toutes les grandeurs et toutes les misères de l’aventure humaine. Tout est là, en vrac, dès qu’on pose le pied sur ce sol qui fut celui de la première république à se libérer du joug esclavagiste et colonial. La première république noire. Toussaint-Louverture, Dessalines, Pétion, ces héros tragiques sont toujours présents dans l’inconscient collectif, de manière parfois étonnante.
THE CULT OF EVA
IIn Moscow, Cristina Kirchner celebrates Eva Perón and, in doing so, sketches her own portrait: a woman of power navigating cult of personality, populism, and Putin-style strategy. A troubling performance of a reinvented political legacy.
ÉCRITURE: L’ART DE L’ENTÊTEMENT
L’écrivain Gilles Pétel est né à Dunkerque, dans les Flandres. Après des études de philosophie à l’université de Nice, Il est parti enseigner à l’étranger où il a passé de nombreuses années. Il a travaillé à Istanbul, à Genève, à Hambourg, à Londres enfin.
LE DICTATEUR ZIGZAG
Entre équilibre diplomatique et autoritarisme hérité du soviétisme, Alexandre Loukachenko avance à pas calculés entre Moscou et Bruxelles. Pierre Scordia explore les contradictions d’un régime qui joue sur tous les tableaux pour survivre.
Odesa: El nuevo punto neurálgico de Ucrania
El puerto de Odessa reviste de una importancia estratégica considerable, tanto política como económicamente hablando.
Amelie: a self-absorbed woman?
At first glance, nobody would ever consider Amélie to be selfish, believing instead that she is selfless. However, behind her sweet smile and seemingly charming nature, there is a narcissistic motive behind her actions.
LE CULTE D’EVA
À Moscou, Cristina Kirchner rend hommage à Évita — miroir idéal pour une présidente en quête d’éternité. Sous les fleurs, le fard et les grandes phrases, elle recycle le péronisme façon Kremlin : culte de soi, populisme chic et nostalgie en option géopolitique.